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Qui a dit qu’on devait être à serpentard, sang pur ou encore pro-voldemort pour être interessé par la magie noir ? Finit les préjugés ! Orpha est une jeune fille bien banale, avec ses grands yeux et son sourire charmant, on a dû mal à croire aux rumeurs qui la disent adepte de la magie noir. Pourtant c’est bel et bien le cas ! Qu’est-ce qui a bien pu la pousser dans cette direction ? Elle est issue de la famille magique la plus banal qu’il soit. Ses parents sont tous les deux sang-mêlés et parfois il y a quelques cracmol ou moldus qu’on ignore tout simplement. Sa mère est écrivain, pas très connue, probablement à cause de son style. Elle écrit des romans noirs, très noirs. Orpha est passionnée par les personnages sombres et sadiques de sa mère. Elle s’en est inspirée et peu à peu à toucher à la magie noir. Beaucoup plus intéressante que cette magie banale. A Poudlard, elle est connue pour ceci. Qui est-ce qui a découvert son secret ? Elle ne sait pas, mais à vrai dire elle s’en fout. Etrangement, le fait qu’elle s’intéresse à la magie noir – et on dit qu’elle la maîtrise – fait qu’elle est devenue quelqu’un à recruter selon les deux camps. Pour le moment elle est neutre, mais elle sait que bientôt elle rejoindra l’un des deux camps…

Orpha n’est pas insensible comme on le dit, maîtriser la magie noire revient à faire des sacrifices et elle n’a pas peur de faire ses sacrifices, voilà tout. Curieuse, rien ne pourrait l’arrêter dans sa recherche de la connaissance. Voilà tout. Elle n’a pas peur du sang ou de devoir perdre quelque chose. Non, elle n’est insensible, si on la connait mieux elle peut paraitre comme une fille sympathique et amicale. Toutefois rare ceux sont qui ont le droit à son amitié, méfiante par nature, elle reste en retrait et à tenu à être neutre, refusant de devoir s’impliquer dans un camp ou l’autre. Toutefois elle se rend compte qu’elle ne pourra pas rester neutre éternellement et devra choisir un camp bientôt. Pour le moment elle hésite et elle réfléchit, cependant elle pense qu’aucun des deux parties a raison ou tord.

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Dedalus, comme le légendaire architecte de la légende de minotaure, le constructeur de labyrinthes. Asling, comme le rêve en celte. Un nom et un prénom étrangement évocateurs pour cet etrange élève de septième année, toujours perdu dans des spirales sans fin, où l’ombre s’enroule à la lumière jusqu’à ce qu’il soit impossible de dissocier les deux entités.

Dedalus aurait voulu la lumière, mais il est né à l’ombre. Plus précisemment dans les ténèbres embrumées d’une vielle roulotte de forains magiques, qui toutes ses roues brisées, s’écaillait au bord d’un lac du Conémara, quelque part, tout là bas, dans la lointaine Irlande.

Sa mère, si semblable à la reine de Crête dans la légende de Minotaure, était une ancienne diseuse de bonne aventure. Une de ces sorcières qui parcourait le monde, sans cesse sur les routes, jamais deux fois au même endroit. C’était sûrement une jolie femme, comme toutes les mamans dans le coeur de leurs enfants. Mais son viol, des mains d’un moldu gorgé de whisky, brisa à jamais le sourire et l’âme de cette vénéneuse personne. Et la haine comme on le sait corrode tout ce qu’elle touche.

Toujours elle vit son fils, fruit de cette violente union contre nature, comme le Minotaure du mythe. Un monstre de souvenir, et que pourtant, sang de ses entrailles, elle ne pouvait s’empêcher d’aimer. Tu es mon fils, tu es ma souffrance. Dedalus grandit entre ombres et lumières. Parfois aimé, parfois détesté. Souvent adoré, régulièrement battu jusqu’au sang.

Dedalus, pourrait aussi être Thésé. Le brillant et vigoureux héros qui perdu dans le labyrinthe des errements maternels, cherche à vaincre le minotaure pour sauver l’honneur bafoué de sa Reine. Mais alors qui dit Thésé, dit aussi Ariane. Cette jeune âme innocente, qui de sa pelote de laine, permet à son aimé de retrouver la sortie du Dédale. L’Ariane de Dedalus s’appelait Claude. Claude était un garçon, un moldu de l’âge de notre personnage, son seul véritable ami. Un enfant au coeur pur, qui se refusait à traiter l’etrange couple de forains, comme les parias asociaux qu’ils étaient.

Mais voilà, Thésé a vu son Ariane mourir crucifié aux branches d’un vieil arbre mort dominant la Lande, avant qu’on ai pu lui indiquer la sortie du labyrinthe. Assassiné par cette mère sous l’emprise de Minotaure qui voyait en chaque sans magie, le souvenir du martyr de la conception de Dédalus. Âgé de 10 ans, le fils vit son ami se vider de son sang, cloué aux branches de cette funeste potence, sans oser bouger pour le sauver, car tels étaient les ordres de la Reine.

Dédalus en conçut une telle souffrance, que la première révélation de ses pouvoirs de sorcier, fut de lui imprimer sur le torse et dans le dos, l’empreinte noire, douloureuse, d’un gigantesque tatouage reprenant les contours de l’arbre mort. Victor Hugo, parlerait à cet effet, de la marque de Caïn. Ce symbole honni et détesté, profondément biblique, qui révèle aux yeux de tous, le statut de condamné de son porteur.

Ombre et lumières Dédalus. Parfois Thésé, lorsque courageusement, il essaye de refouler l’influence pernicieuse de sa mère, pour retrouver le chemin de la Lumière dans le labyrinthe de haine des moldus, qu’elle a batti tout autour de lui. Souvent minotaure, lorsqu’en digne fils de sa génitrice, il semble à son tour se gaver de ce poison de violence qui coule dans ses veines.

Dédalus est gris. Ni bon, ni méchant. Mais la balance oscille inlassablement, cherchant l’ultime déséquilibre qui le fera basculer d’un côté ou de l’autre de ses aspirations contraires.

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Pendant ses trois premières à Poudlard, Ivy était mal vue à Poudlard, car on l'accusait de faire de la magie noir. Tout ça parce qu'elle se baladait avec une poupée vaudou ! Maintenant elle est mal vue, car on l'accuse de faire partie de l'armée de Dumbledore et c'est le cas. Alors qu'elle était partie aider des nés moldus dans la forêt interdite, elle s'est fait attraper par des siffleurs. Ces derniers n'ont toujours rien dit au directeur ou à tout membre de l'administration de Poudlard, dés que cela se sera, elle sait qu'elle sera virée de Poudlard. Cependant ils ne le font pas et elle ne comprend pas pourquoi elle a le droit à un tel sursis. Malheureusement elle a dû couper tout lien avec l'A.D., car elle est suivie par un septième année qui est un membre des siffleurs. Ce dernier n'arrête pas à lui faire des sous entendre qu'un jour elle devra à son tour rendre service aux siffleurs et qu'ils ont des projets pour elle.

Ivy est une jeune fille sympathique, quoi qu'un peu sombre, qui s’intéresse peut être un peu trop aux sciences occultes. Cela lui a souvent causé des problèmes, mais elle ne s'en soucie pas plus que cela. Sa curiosité est plus grande que son désir de popularité, heureusement d'ailleurs, car elle a très peu d'amis et elle n'a jamais été très bien vu par la population de Poudlard. De plus le château est petit et il suffit d'une rumeur ou deux pour détruire l'image d'une personne. Néanmoins Ivy n'y prête pas vraiment attention, elle est solitaire et alors ? Elle va pas pleurer pour ça. Et puis les gens qui connaissent vraiment ne se soucient pas de ce qu'on pense d'elle. Car ils savent qu'elle est loyale et sait se montrer très agréable.

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On pourrait aisément le surnommer Nawyr le maudit. Cet enfant rejeté des Dieux dés sa naissance. Il est le fruit du charme du Vélane sur Lucius Malefoy, bien que ce dernier soit au courant qu'il a un fils, il a refusé de le reconnaitre comme tel pendant des années. Sa mère désespérée d'avoir un descendant mal abandonna l'enfant à une nourrice qui éprouver une répulsion pour cet enfant androgyne. Cependant Nawyr pu faire face à cette haine grâce à un petit garçon blond, Drago Malefoy. Nawyr vivait en effet non loin du manoir des Malefoy et très rapidement les deux garçons se lièrent d'amitié, ne sachant pas qu'ils étaient demi-frère. Nawyr aimait énormément Drago, peut être pas de la façon qu'il le devait, peut être est-ce à cause de cela que Nawir s'amuse à pousser à l’extrême ses traits androgynes, se travestissant en fille, disant qu'il est plus à l'aise dans ce genre de tenue. Mais qui sait si ce n'est pas un mensonge ?

La mort de Drago marqua la vie de Nawyr plus qu'il ne l'aurait voulu. Après une tentative de suicide qui échoua, il retrouva peu à peu le goût de la vie auprès de Narcissa qui lui donna l'amour maternel dont il n'avait jamais eut le droit. En effet, la mort de Drago avait convaincu Lucius de reconnaitre Narwyr comme son fils. Peut être espérait-il que Narwyr pourrait remplacer Drago. Cependant Narwyr n'est pas Drago, Narcissa tient à cela. Rien et ni personne ne pourra remplacer son fils. Narwyr est l'instrument de vengeance des Malefoy, il le sait très bien, mais cela lui convient très bien. Voldemort et tous les mangemorts vont payer la mort de Drago.

Avec ses manières androgynes, beaucoup d'élèves se demandent s'il est vraiment à Serdaigle. Après tout ces derniers ne sont pas connus pour leur excentricités. Cependant Narwyr incarne un aspect des Serdaigles qui est oublié pas beaucoup. Narwyr est quelqu'un de rêveur, vivant dans l'aspect artistique de sa maison. Néanmoins on retrouve chez lui une certaine réflexion, une intelligence maline, presque dangereuse, qu'il met non pas au service du travail scolaire, mais de sa vengeance. Il ne vit que pour ça, se faisant passer pour un Pro-Voldemort, allant jusqu'à rejoindre les Siffleurs pour mieux les détruire de l'intérieur.

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Dans chaque école il y a les gens populaires, les normaux, ce qu'on aime pas, mais qu'on ignore et le souffre douleur. Celle que tous ignorent ou bien regardent de loin avec pitié n'osant pas s'approcher. Andréa c'était le souffre douleur de Poudlard pendant quatre ans. Elle n'avait pas un seul amis, les gens la regardaient de haut, on l'humiliait sans pitier, lui volaient ses affaires, se moquaient d'elle et trainer avec elle était une tare. Ses parents sont des gens compréhensifs et n'auraient pas hésiter à la retirer de Poudlard s'ils savaient cela. Cependant Andréa se refermait sur elle et était tout simplement incapable de parler de tout cela. Et puis Voldemort a prit le pouvoir et Andréa a rejoint les siffleurs. A chacun son tour d'être un souffre douleur, c'est le tour des nés moldus cette fois-ci. Maintenant qu'elle est membre des siffleurs, les gens n'osent plus s'attaquer à elle. Ils sont même sympathiques et essaient de devenir son amie ! Oui, pour Andréa l'arrivée de Voldemort au pouvoir une bénédiction.

Andréa est grisée par sa nouvelle popularité de Poudlard. Elle sait très bien que les gens veulent être amis avec elle simplement parce qu'elle fait partie des siffleurs, mais elle en a strictement rien a faire. Tout ce qu'elle veut c'est qu'on l'aime et qu'on la laisse tranquille. Légèrement rêveuse, elle a tendance à se dire que parfois ils l'aiment pour ce qu'elle est. Mais cet élan de naïveté disparait dès qu'elle entend leurs murmures dans son dos. Ils ont de la chance qu'elle n'est pas un esprit de vengeance. Car c'est une fin stratège, qui mine de rien peu manipuler son monde et c'est pour cela que les dirigeant des siffleurs font attention à elle. Et quelques fois, pas officiellement bien sûr, demandent son avis pour savoir s'ils appliquent ou non la bonne stratégie.